L’été se montre actuellement sous son jour le plus ensoleillé à plusieurs reprises et les vacances battent déjà leur plein dans la plupart des Länder. Il est donc temps de faire un tour ou deux sur le terrain de golf. Mais avant que cela ne soit le cas, le Golf Post vous raconte ce que le golf a à voir avec la bourse et pourquoi vous préférez avoir un oiseau sur le parcours.
Sur le tee
Bien échauffé ou alors directement du parking au tee ? Dans ce cas, le premier coup de la maison peut déjà se perdre. La maison ? Oui, « tee » vient du gaélique « tigh » (maison) et désigne l’endroit où, avant l’invention de l’utile petit stylo, la balle était frappée par des cônes de sable.
Dans les parties privées, certains font comme si de rien n’était et en remettent une couche. Un Mulligan, dont l’origine remonte notamment à l’hôtelier canadien David Mulligan. Dans les années 1920, il aimait s’accorder des « coups de correction » lors de ses parties de golf au St. Lambert Country Club de Montréal. Le nôtre atterrit maintenant correctement sur le fairway, qui s’appelait autrefois Fairgreen et qui désigne justement la zone du parcours à jouer de manière fair-play, car elle est coupée court.
Sur le fairway
Par 5, le green nous attire au loin, bois 3 et c’est parti. Mais l’excès de confiance fait rarement du bien et nous ne sommes pas encore bien chauds : la balle part puissamment vers la droite, un slice, le handicap naturel de 90% des golfeurs. Au lieu de jurer, nous crions « Fore ». Les uns disent qu’il s’agit d’une déformation de « watch out ahead ! » (« Attention devant ! ») en un monosyllabe « fore » (« devant »). D’autres pensent qu’il s’agit d’une version raccourcie du cri de réveil du « forecaddie », qui était autrefois toujours envoyé devant et devait suivre la trajectoire de la balle pour éviter de perdre trop de ces coûteuses plumes.
Autour du green
Tout va bien, la balle est trouvée. Dans le rough à l’écart du green. Un pitch (« to pitch »/lancer, mais aussi « pitch »/inclinaison, pente) s’annonce. Il ne faut surtout pas avoir peur du bunker. Malgré leur nom martial, ce ne sont que des trous dans lesquels les anciens Écossais ont « bunkerisé » du sable, c’est-à-dire l’ont stocké et aménagé en obstacle.
Près du drapeau
Sur le green donc. Avec le troisième coup. Peut-être mort sur le drapeau. Puis le transformer en birdie – ce serait cool ! Et c’est la même chose : En argot américain, un « bird » était autrefois ce que nous appelons aujourd’hui un « cool ». C’est Ab Smith qui l’a inventé, en 1898 à l’Atlanta City Country Club, après une approche réussie : « What a bird of shot [(Was für ein cooler Schlag]! » Prononça-t-il, et il mit un trou à un sous le par. Les progressions Eagle et Albatros sont tout à fait logiques : plus votre score sur le trou est bon, plus votre oiseau est grand.
Tap-in pour un birdie
On commence par réparer la marque de pitch, ainsi nommée parce qu’autrefois, sur les parcours à gauche, venteux et durs comme du béton, on jouait beaucoup plus à plat qu’aujourd’hui et que seules les balles « lancées » laissaient des marques de pression sur le green.
Maintenant, le tap-in. Mais qui ne connaît pas le problème : à peine une distance, et pourtant le trou devient de plus en plus petit. Mon cul, un diamètre normalisé de 10,795 centimètres (4,25 pouces). Qui a imaginé une telle chose ? Le Royal & ; Ancient Golf Club of St. Andrews, bien sûr. Comme les collègues de Musselburgh ont inventé le premier outil de coupe de trous dès 1829, le R&A a défini en 1891 dans l’aide économique à l’étrier exactement la même mesure comme standard.
Par et bogey
Bien sûr que le birdie tombe ! D’autres résultats ne correspondent pas à un trou imaginaire en début de saison. Voici tout de même les explications : Par vient du langage boursier et désigne la valeur nominale d’une action. Et la valeur nominale d’un parcours, depuis que le journaliste de golf A. H. Doleman s’est renseigné auprès de professionnels avant l’Open 1870 à Prestwick sur la valeur optimale du parcours de 12 trous. On lui a donné 49 coups, qu’il a publiés comme « par ».
Pendant longtemps, Bogey a été synonyme de « ground score » d’un parcours, car les golfeurs britanniques chassaient le handicap avec un refrain sur les lèvres : « I’m the bogeyman ». [der schwarze Mann], catch me if you can ». Le bogey, également décrit dans le sport comme un adversaire qui fait peur, était donc même souhaitable au début. Ce n’est que plus tard que le terme a reculé d’un coup en tant qu’étalon pour les golfeurs amateurs, tandis que les professionnels utilisaient la « valeur nominale ». En 1911, l’association américaine USGA a définitivement défini le par comme étant un « résultat parfait, sans erreur et dans des conditions météorologiques normales, en tenant compte de deux putts par green ».
Beau jeu !
D’autres termes de golf expliqués :